Le juge des référés n'a pas suivi la demande de la SNRH qui consistait à vouloir suspendre la décision du port Autonome du 23 avril.La demande de la SNRH a donc été rejetée par le juge.Les salariés continueront donc à naviguer en 7/7 sur la base d'un rythme de travail de 15 heures par jour avec 9 heures de repos quotidien.Des relèves à 1h00 du matin, des logements non propice à une récupération optimale et tout celà contrôlé de près par notre administration.
Et ce malgré l'avis de l'Inspection du travail Maritime qui dénonce le non respect du repos minimal prévu par les conventions collectives soit 11h00.