Il y avait le supplice de la goutte d'eau pour faire parler les prisonniers.
A la SNRH, les salariés sont soumis au supplice d'une absence de communication
ou à une communication basée sur "tout et son contraire".
La direction annonce qu'elle va supprimer l'outil de travail, mais que la SNRH reste.
Puis parle vaguement de mise en chomage partiel des salariés, alors que cette mesure ne
s'applique que pour une baisse d'activité temporaire.
De même pour les créances salariales. Selon la direction, il n'y en avait pas, puis il ne faut pas
les déposer tout de suite mais plus tard, etc....
Les salariés sont plus qu'exaspérés par cette stratégie qu'ils ne comprennent pas et qui se double
d'une fronde (sabotage de véhicule perso, forçage de casier) à l'encontre des "meneurs" CFDT
accusaient de tous les maux.
Les salariés de la SNRH sont plus que jamais les otages d'une direction d'entreprise rendue "folle"
par le verglas.